Moustique tigre et bâti : quels leviers d’action pour limiter les gîtes larvaires ?

L’implantation progressive du moustique tigre en France métropolitaine représente un enjeu majeur de santé publique, avec les risques de transmission de différents virus : dengue, chikungunya et maintenant zika. La seule lutte réellement efficace est de réduire les lieux de ponte (gîtes larvaires) pour limiter la reproduction de l’insecte.

Si ¾ des gîtes larvaires sont mécaniquement éradicables lorsque par exemple, on vide une coupelle, ¼ des gîtes larvaires concernent le bâti car, l’architecture des bâtiments peut créer des conditions favorables à la rétention de l’eau.

Cet article a ainsi pour objectif de faire le point sur les différents gîtes larvaires que l’on trouve dans l’habitat et la manière de les réduire par différentes dispositions.

Document rédigé par Dominique Chanaud, attaché territorial dans un service de santé publique d’une collectivité territoriale

Afin d’enrichir son contenu, nous vous invitons à faire part de vos remarques. Merci de nous adresser vos commentaires par courrier électronique.

L’EnviroBOITE est co-financée par l’Union Européenne.
L’Europe s’engage en Provence-Alpes-Côte d’Azur
& en Auvergne-Rhône-Alpes
avec le Fonds Européen de Développement Régional.
Europe République Française Région PACA Région Auvergne Rhône-Alpes Ademe